Quand on était seul·es, il restait les silences, les regards tissés d’absence et d’attente. Sur le plateau, les corps se frôlent sans se trouver, cherchent l’autre, l’écho, la faille. La solitude devient chœur, la fragilité, force en murmure. La Compagnie Si Seulement sculpte l’isolement, et dans les creux du vide, fait naître un battement commun.